C’est par le biais du journal japonais Chunichi que nous apprenons la date de sortie du premier film animation de Mahou Shoujo Madoka Magica !
Le film est prévu pour cet Automne 2012 (Septembre/Octobre ?), au Japon.
Shinbo Akiyuki (réalisateur de la série et du film) a fait part de son inquiétude par rapport au contenu de l’anime en espérant que les films Madoka arriveront tout de même à toucher un large public.
Trois films animations de Mahou Shoujo Madoka Magica sont prévus. Les deux premiers reprennent les évènements de la série avec quelques améliorations et scènes inédites. Le troisième film mettra en scène une histoire originale qui conclura la saga.
Staff Animation :
Studio : SHAFT Réalisateur : Akiyuki Shinbo (Bakemonogatari, The Soul Taker, SoreMachi) Scénariste : Gen Urobuchi (Requiem for the Phantom TV, Blassreiter, Fate/Zero) Character Designer Original : Ume Aoki (Hidamari Sketch) Character Designer : Takahiro Kishida (Durarara!!, Serial Experiments Lain) Responsables Animation : Junichiro Taniguchi (Yondemasu yo, Azazel-san TV, Ookiku Furikabutte S2) & Mika Takahashi (Rainbow) Directeur Artistique : Kunihiko Inaba Musiques : Yuki Kajiura (Tsubasa Reservoir Chronicle, saga .hack//, Noir, Kara no Kyoukai)
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subaru64 Messager des dieux
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Sujet: Re: Mahou Shoujo Madoka Magica Ven 25 Mai - 7:20
Site du jeu
TotalManga.com a écrit:
Puella Magi Madoka Magica, Critique de la rédaction
Une collégienne rencontre un petit animal blessé. Ce dernier, doté de pouvoirs magiques, va lui permettre d’exaucer son vœu le plus cher… Un scénario vu et revu, n’est-ce pas ? Ne vous fiez pas aux apparences, Mahô Shôjo Madoka Magica (MSMM) n’est pas une série de magical girls comme les autres.
Par le pouvoir du prisme lunaire !
S’il fallait déterminer quelques canons ultra-classiques du manga (et par extension de la japanimation), on énumèrerait le mecha, le héros benêt-qui-vit-sur-ses-rêves-et-espoirs et qui parvient à gagner contre le méchant à la fin malgré tout, la tsundere, la yandere, la cooldere (tous les persos féminins en –dere), le samouraï (classique comme moderne) et, bien sûr, la magical girl (ou mahô shôjo). Cette dernière nous intéressera plus particulièrement – non pas que les autres ne soient pas intéressants, mais MSMM n’en traite pas.
Ce genre gravé dans le marbre du manga répond lui aussi à des codes précis : le personnage principal doit être jeune (lycéennes s’abstenir), accompagné d’un animal (ou assimilé) kawaï, avoir droit à des phases de transformation scintillantes et des pouvoirs de couleur rose pastel, vivre plein d’aventures palpitantes (même si plus tard, par extension, le devoir principal de la magical girl sera de combattre le mal)... On comptera donc parmi elles Sakura, Honey, Sally, Usagi Tsukino, Chacha, Behoimi… L’objectif des auteurs étant de faire rêver les jeunes filles (le magical girl s’adresse essentiellement à un public amateur de shôjo), s’identifiant à ces petites magiciennes kira kira, comme leurs camarades de sexe masculin s’identifient à Yugi, Naruto ou Luffy.
On retrouve tous ces éléments constitutifs de la magical girl lambda dans MSMM. Mais y’a comme quelque chose de différent…
Le rose et le noir
Tout commence par un rêve. Madoka, collégienne lambda, se retrouve dans un paysage apocalyptique. Là, alors qu’elle est témoin de la défaite d’une inconnue aux cheveux longs, une espèce de chat-lapin (disons, un chlapin) nommé Kyubey lui dit que tout peut changer grâce à elle si elle accepte de devenir magical girl sous son patronage. Madoka se réveille alors et reprend sa vie normale, avec une famille normale (et progressiste : il y a un père au foyer), des amies normales, dans un Japon futuriste mais pas si lointain (tout est en verre et en matériaux intelligents, un peu comme dans cette vidéo) mais normal.
Jusqu’à ce que la fille qu’elle avait vue dans son rêve (qui s’appelle en fait Homura) soit transférée dans sa classe. Après un moment d’incompréhension, Madoka et son amie Sayaka vont découvrir que les magical girls existent bel et bien, qu’elles ont un rôle important pour le bon ordre de notre univers, et qu’il ne tient qu’à elles de rejoindre le mouvement. D’autant plus qu’en devenant une petite princesse se battant pour le bien, Kyubey le chlapin leur accordera un souhait, n’importe lequel. C’est à ce moment que le jeu de perversion psychologique entre les différents personnages commence.
Car l’apparition de Homura n’est pas fortuite. Pour une raison inexpliquée au début de la série (et qu’on ne dévoilera pas ici pour préserver le plaisir de la surprise), elle s’oppose fermement au fait que Madoka franchisse le cap. Contrairement à Kyubey (et dans une moindre mesure, Mami, une autre magical) qui, lui, insiste lourdement auprès de l’héroïne et de son amie pour que ces dernières deviennent des magicals, agitant le bonus du souhait pour les inciter. En cela, Kyubey agit comme un dealer de crack cherchant à convaincre de potentiels nouveaux clients. Pourquoi ? Le révéler ici serait encore une fois gâcher une grande partie de l’intrigue…
Être ou ne pas être une magical girl ?
L’essentiel de l’histoire va donc tourner autour des tourments de Madoka, alors que le monde et sa perception changent à toute vitesse. Très rapidement, Mami, son modèle en tant que magical, va perdre la vie, prouvant la faillibilité de tous. C’est ensuite son amie Sayaka qui, par amour et égoïsme, va se voir doter d’habits et de pouvoirs magiques. L’héroïne, elle, hésite toujours, tiraillée par les avis de Kyubey d’un côté et de Homura de l’autre. Enfin, elle se rendra compte que les mahô shôjo n’agissent pas toujours dans l’intérêt du plus grand nombre, et que des luttes intestines existent.
En somme, la jeune Madoka est partagée entre sa volonté de faire le bien pour le bien, et son souhait de garder une vie normale. Or, comme l’oncle Ben – le tonton de Peter Parker, pas le monsieur de la marque de riz – le disait si bien avant de trépasser : « Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités ». Et ça, Madoka s’en rend bien vite compte. Ce qui est d’ailleurs retranscrit dans l’opening et l’ending de la série, montrant les fantasmes et la triste réalité de l’occupation de mahô shôjo, ainsi que le destin des filles.
Un grand anime implique une grande équipe
À l’origine de ce projet original (non adapté d’un manga/light novel/visual game – ce qui est assez rare aujourd’hui pour être souligné), il y a le studio Shaft, connu pour ses clowneries expérimentales rigolotes et parfois pesantes sur des animes comme PaniPoni Dash!, Sayonara Zetsubô Sensei ou Maria Holic. Nombreux sont ceux qui n’ont pas pardonné au studio son travail de massacre sur des licences comme Negima!? ou ef. Bref, savoir que ce studio en particulier (et son réalisateur attitré depuis 2004, Akiyuki Shinbô – premier responsable des clowneries susnommées) allait produire un anime consacré aux magical girls ne pouvait qu’intriguer – a fortiori quand il s’agit d’un travail original.
Le scénario est de Gen Urobuchi, qui s’était distingué en adaptant avec brio le visual novel Phantom of Inferno pour le petit écran. Le chara-design original est de Ume Aoki (la créatrice de Hidamari Sketch), d’où les visages quelque peu rectangulaires des persos. La musique, à forte inspiration folk celtique-new age, qui accompagne à merveille l’anime a été composée par Yuki Kajiura (Noir, .hack//SIGN). Enfin, Yukihiro Miyamoto, fidèle bras droit, est là pour aider Shinbô dans la réalisation.
Visuellement, le résultat est impeccable. Shaft et Shinbô se permettent quelques écarts qui, au lieu de gâcher un ensemble cohérent, rehausse au contraire le tout. En effet, l’utilisation de papiers découpés ou de dessins au fusain (techniques déjà employées, entre autres, dans les openings de Sayonara Zetsubô Sensei et dans les endings de Maria Holic) n’intervient que lorsque les filles passent du monde réel à ce qu’on pourrait appeler le monde magique. Cet univers baroque, où se terrent les sorcières que combattent les filles, a de forts relents burtoniens. Malgré les couleurs chatoyantes et l’allure a priori inoffensive des vilains (qui ressemblent à des gâteaux, des dessins d’enfants, bref, qui sortent d’un univers de jeune fille), on ne peut s’empêcher de ressentir un certain malaise. L’univers enfantin qu'il nous est donné de voir est en désaccord total avec les scènes qui s’y déroulent, d’une violence rare.
Déconstruire pour mieux construire
Les super-héros ont eu Watchmen et Batman – Dark Knight Returns. Les mechas ont eu Bokurano et, dans une moindre mesure, Neon Genesis Evangelion (il est d’ailleurs intéressant de noter un certain nombre de ressemblances psychologiques entre Shinji et Madoka). Le harem manga a eu Toradora!. Les magical girls ont Mahô Shôjo Madoka Magica. Soit une réécriture complète d’un genre bien ancré. La destruction d’un archétype. Sur chacune de ces œuvres, les auteurs/créateurs ont souhaité rompre avec un rythme routinier, et marquer le lecteur/spectateur. Les méthodes sont simples, et pourtant on n'y pense pas assez : personnages rendus plus humains (donc plus faillibles), horreur et drame explicites, cicatrices apparentes (qu’elles soient physiques ou mentales), héros tragiques…
Par ailleurs, le tour de force de Urobuchi réside dans son application, avec maîtrise, de la 6e règle d’écriture de Kurt Vonnegut : « Soyez sadique. Aussi doux et innocent votre personnage principal puisse être, faites-lui subir les pires choses – de sorte que le lecteur [spectateur] puisse savoir de quoi il est fait ». En effet, pour faire sortir Madoka de sa bulle, on la fait se confronter à la mort, à l’égoïsme, à la trahison, à la vérité cachée, au complot… Dans l’ensemble, les personnages ne se sortent pas indemnes de ce traitement de choc, chacun ayant ses blessures et ses raisons, que l’intrigue dévoile au fur et à mesure.
Au final, MSMM est une série apocalyptique. Pas au sens où l’entendent les films catastrophes de Michael Bay ou Roland Emmerich, mais plutôt dans l’entendement biblique et étymologique du terme : une révélation. L’Apocalypse, c’est l’arcane XIII sans nom du Tarot de Marseille : elle représente la mort, mais aussi la renaissance. Tout ce que subissent les personnages n’est pas gratuit. La finalité est dévoilée à la fin de la série, dans un dénouement similaire à une autre œuvre apocalyptique, Promethea, d’Alan Moore (graphic novel que vous êtes invité à lire si le mysticisme et la métaphysique ambiante de MSMM vous ont marqué). Tout est connecté, le destin des héros antiques des filles trouvent un dénouement digne de ces 12 épisodes, le monde change et continue de tourner malgré tout.
Oui, mais…
On ne peut évidemment tarir d’éloges face au rendu d’excellente qualité de la série, tant dans le fond que dans la forme (de toute manière, pour une bonne compréhension de l’ensemble, l’un ne peut aller sans l’autre). On peut cependant reprocher à MSMM qu’aussi originale elle puisse être, elle n’aborde pas ici un sujet nouveau.
Souvenez-vous, en 2004, un certain Shinbô réalisait Mahô Shôjo Lyrical Nanoha. Une série où des jeunes filles devenues des magical girls se tapaient entre elles à la fin, et qui traitait avec pertinence de la difficulté à être une magical girl, des responsabilités que cela impliquait. Une déconstruction du genre…
Shinbô se serait-il alors contenté d’un plagiat de sa propre œuvre ? Le croire serait faire une grossière erreur. Si, dans le fond, certaines thématiques auxquelles on ne pouvait échapper se retrouvent dans les deux séries, on doit reconnaître que MSMM va plus loin dans tout : analyse, violence, dérangement, audace, profondeur. La série réussit là où beaucoup ont échoué : Angel Beats!, Hinamizawa, le Village Maudit (et son pendant Umineko no Naku Koro ni), Alien 9 et bien d’autres œuvres qui ont essayé, parfois en vain, d’apporter un sang neuf à des genres un peu fatigués sans toutefois y parvenir, faute d’une réalisation adéquate, d’une esthétique correcte ou de délais respectés.
En créant Madoka Magica, Shaft et Shinbô ont révolutionné un genre pour longtemps, rien de moins. Comme Tengen Toppa Gurren Lagann avait renouvelé le space-opera et le mecha auparavant, MSMM va servir de mètre-étalon pour les productions de séries magical girl à l’attention d’un public un peu plus mûr que les 8-12 ans.
Le mot de la fin
On aurait pu gloser indéfiniment sur Mahô Shôjo Madoka Magica. On aurait pu parler de sa diffusion erratique pour cause de triple catastrophe au Japon (et de cet épisode 11 aux images prophétiques). On aurait pu parler de ses multiples références à la littérature fantastique (Faust de Goethe en premier lieu). On aurait pu parler de l’univers tellement riche qu'on découvre des choses à chaque visionnage, avec des partitions de musique et une écriture runique cachées un peu partout. On aurait pu parler de l’obscur culte « Eglise de Madoka », similaire à ce que fut l’Haruhisme à une époque, né dans le fandom suite à la diffusion des deux derniers épisodes le 22 avril 2011. On aurait pu parler de tous ces threads créés sur Internet intitulés « Everybody hates Kyubey » parce que c’est vrai que « le Diable [ne] s’habille [pas] en Prada » : c’est un chlapin blanc avec des yeux rouges. On aurait pu parler du choix audacieux des seiyûs (Chiwa Saitô dans un rôle sombre, il fallait oser). On aurait pu parler de tout ça et de bien d’autres choses. Mais le temps et l’espace manquent (tiens, l’espace et le temps, vaste problématique abordée dans la série aussi). Aussi, faites-vous une idée précise de cet anime, que certains n’apprécieront pas du tout, mais que le plupart adoreront, à n’y pas manquer.
subaru64 Messager des dieux
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SCOOP ANIMELAND ! Nous pouvons vous annoncer que Puella Magi Madoka Magica, la série événement de l'année 2011 au Japon, va très prochainement arriver en France. Le 15 octobre 2012, pour être précis. Où ? Comment ? Sous quelle forme ? On ne peut rien vous dire de plus pour l'instant, mais l'annonce officielle sera faite mercredi prochain, le 5 septembre.
Puella Magi Madoka Magica était la série la plus attendue des fans en 2011. Elle avait à ce titre remporté le prix du "Meilleur Espoir Anime" au dernier Anime & Manga Grand Prix d'AnimeLand.
Le titre n'est toutefois pas totalement inconnu chez nous puisque Doki Doki en édite l'adaptation en manga depuis le mois de mai. Le tome 3 (le dernier) est prévu le 12 septembre.
Nous avons récemment consacré un article à cette série phénomène dans le numéro d'été (AnimeLand n°183).
YES !!!! La meilleure nouvelle de l'année en matière d'animation japonaise en France ! Enfin bon, je me réjouis peut être un peu trop vite. J'espère que ça ne va pas être uniquement une diffusion sur internet avec aucune édition vidéo à la clé.
subaru64 Messager des dieux
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PUELLA MAGI MADOKA MAGICA chez Wakanim et au cinéma !
Nous vous l'avions annoncé dès vendredi dernier : Puella Magi Madoka Magica va enfin être diffusée en France. Et c'est le site Wakanim.tv qui proposera les 12 épisodes de la série en VOSTF à partir du 15 octobre 2012 sur son site Internet. Ils seront accessibles gratuitement pendant une semaine, date anniversaire du premier simulcast (Que sa volonté soit faite, lancé le 7 octobre 2010).
Mais ce n'est pas tout ! Si vous vous intéressez à cette série, vous savez certainement que trois long métrages sont actuellement en préparation au Japon. Les deux premiers sortiront là-bas les 6 et 13 octobre 2012 et Wakanim gâte les fans en organisant une projection exceptionnelle de ces longs métrages le 19 octobre 2012, lors d'une grande soirée dans l'une des plus belles salles de Paris : le Grand Rex ! Les réservations s'ouvriront fin septembre sur le site officiel du cinéma.
Voilà en tous cas une belle entrée en matière pour découvrir cette série déjà culte au Japon !
Les films de Puella Magi Madoka Magica au cinéma, il n'y a pas qu'en France, la preuve !
subaru64 Messager des dieux
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Sujet: Re: Mahou Shoujo Madoka Magica Dim 21 Oct - 6:08
Adala-News a écrit:
Une nouvelle série animée Madoka Magica en considération
C’est par le biais du journal japonais Sports Hochi que nous découvrons que Gen Urobuchi, scénariste de la saga Madoka Magica, veut réaliser une nouvelle série animée !
Gen Urobuchi a fait part de son désir de lancer une nouvelle série animée après le troisième film, Mahou Shoujo Madoka Magica. Bien sur, le succès des trois films sera déterminant dans cette décision.
Le scénariste a annoncé que le troisième et dernier film de Madoka Magica est une histoire originale mais ne conclut pas la saga. Elle ouvre d’autres perspectives.
Il précise que si une suite est envisagée pour Madoka Magica, il aimerait qu’elle soit développée par de nouveaux scénaristes. Lui officiant sans doute comme superviseur. Urobuchi pense qu’une oeuvre doit survivre à ses créateurs et ne pas lui être associée.
Rappelons que le premier film animation Madoka Magica, diffusé depuis le 6 Octobre 2012, a déjà généré plus de 1,35 millions € en une semaine et le second film diffusé depuis le 13 Octobre 2012, a atteint 1,6 millions € de chiffre d’affaires en 2 jours, dans les salles japonaises.
subaru64 Messager des dieux
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Sujet: Re: Mahou Shoujo Madoka Magica Jeu 17 Jan - 13:59
subaru64 Messager des dieux
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Le troisième long-métrage de Puella Magi Madoka Magica sortira au Japon au cinéma le 26 octobre 2013. Il apportera une conclusion inédite à la saga (que ce soit la série ou les deux premiers films).
En France, ce film fera l'objet d'une sortie unique au cinéma, au Grand Rex à Paris, mais aussi à Tourcoing, le 16 novembre 2013.
Présent à Japan Expo, le producteur Atsuhiro Iwakami a annoncé que “cette fin devrait plaire aux fans. Pour certains, ce sera un happy end. Pour d'autres pas forcément, mais ils ne seront pas déçus. C'est la plus belle fin qu'on voulait donner à la série”.
Les deux premiers films sortiront cet été dans un coffret Blu-ray en édition limitée.
subaru64 Messager des dieux
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Un an après la projection exceptionnelle des deux premiers longs-métrages de Puella Magi Madoka Magica, le troisième film fera à son tour l'objet d'une diffusion unique sur grand écran, au Grand Rex à Paris, organisée par Wakanim le 22 novembre 2013 à 21h (attention, la date a changé depuis la première annonce en juillet dernier).
De plus, cet ultime épisode sera projeté dans la plus grande salle du cinéma ! Les réservations sont déjà disponibles (plus d'infos).
Intitulé Rebellion, ce film apportera une conclusion totalement inédite à la saga. Il sortira au cinéma au Japon le 26 octobre prochain.
L'histoire (source : Wakanim) :
Madoka Kaname. Jadis, elle était une jeune fille ordinaire qui coulait des jours paisibles, mais à travers son sacrifice, elle a libéré les Puella Magi des chaînes d'un destin cruel. Une Puella Magi, Akemi Homura, livrée à elle-même sans avoir vu ses sentiments pour Madoka aboutir, continue le combat, seule, dans le monde qu'elle lui a laissé. Madoka Kaname a changé le monde. Que découvriront les Puella Magi dans ce nouveau monde ? Espoir ou désespoir ?
subaru64 Messager des dieux
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Sujet: Re: Mahou Shoujo Madoka Magica Dim 13 Oct - 18:47
subaru64 Messager des dieux
Nombre de messages : 20600 Age : 52 Localisation : Pau Date d'inscription : 10/07/2007
Le Bluray du film animation Mahou Shoujo Madoka Magica Movie 3, daté au Japon
C’est par le biais du twitter officiel que nous apprenons la date de sortie bluray du film animation, Mahou Shoujo Madoka Magica Movie 3 !
Le Bluray est prévu le 02 Avril 2014, au Japon. (sous-titres anglais inclus)
Genre : Seinen, Magical Girl, Psychologie
Synopsis :
Ce troisième film met en scène une histoire originale qui conclut la saga.
Il était une fois, une jeune fille du nom de Madoka Kaname qui s’est sacrifiée pour sauver d’autres Magical Girls de leur destin funeste.
L’histoire nous entraîne au côté de Homura Akemi, une magical girl hantée par la disparition de son amie Madoka, qui continue à se battre seule dans ce monde.
Le film a atteint remarquablement les 2 milliards de yen soit 14 millions € lors de son exploitation cinéma, au Japon.
Les 2 premiers films animations, Mahou Shoujo Madoka Magica (remake de la série de 2011), sont disponibles depuis Juillet 2013, au Japon. (Bluray)
Staff Animation TV/Movies :
Studio : SHAFT Réalisateur TV & Movies 1&2 : Akiyuki Shinbo (Bakemonogatari, The Soul Taker, SoreMachi) Réalisateur Movie 3 : Yukihiro Miyamoto Scénariste : Gen Urobuchi (Requiem for the Phantom TV, Blassreiter, Fate/Zero) Character Designer Original : Ume Aoki (Hidamari Sketch) Character Designer : Takahiro Kishida (Durarara!!, Serial Experiments Lain) Responsables Animation : Junichiro Taniguchi (Yondemasu yo Azazel-san TV) & Mika Takahashi (Rainbow) Directeur Artistique TV : Kunihiko Inaba Directeur Artistiques Movies : Ken Naito (Tasogare Otome x Amnesia) Musiques : Yuki Kajiura (Tsubasa Reservoir Chronicle, saga .hack//, Noir, Kara no Kyoukai)